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Il faut le voir pour y croire

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2017.01.05 Traversée Les 2 projets.jpg

 

  1. Avec le CEVA, Genève et la Confédération, ensemble, ont décidé de miser sur le chemin de fer pour assurer l’avenir de la mobilité régionale.
  2. Parallèlement, Genève décide d’une traversée du Lac.
  3. Mais Genève refuse d’envisager que cette traversée du Lac serve aussi au chemin de fer. Car c’est bien de cela qu’il s’agit : ce n’est pas après étude que Genève a décidé d’ignorer la possibilité de réaliser une traversée mixte, routière et ferroviaire : Genève a refusé, et refuse encore, de même envisager celà.

 

La seule question que se pose Genève ne porte pas sur l’efficacité fonctionnelle des infrastructures qu’elle veut réaliser, ni sur leurs impacts environnementaux, ni sur leurs impacts urbanistiques, ni sur leur acceptabilité par leurs voisins, ni sur les difficultés physiques et techniques, ni sur ce qu’elles coûtent, à elle, ou à la Confédération.

 

Non : Genève ne se pose qu’une question : sera-ce un pont ou un tunnel ?

 

Il est urgent de procéder à ces études, et cela en toute transparence. Toutes ces questions seront posées par les citoyens lorsqu’arrivera le moment de les convaincre.

 

Et puis, bien sûr, ce rappel: le coût du projet de l'Etat est évalué à 3 à 3,5 milliards, celui du projet GeReR, comprenant la traversée ferroviaire, à 3 à 3,5 milliards.

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